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  • Photo du rédacteurSIM France-Belgique

Des missionnaires en mouvement

En ce début d’année scolaire, nous vous proposons de faire un point sur les mouvements de missionnaires SIM qui ont eu lieu ces derniers temps : fin de collaboration, début d’engagement, évolution de ministère... C’est parti !


Des fins de mission


Famille Ganga

Missionnaires long-terme - Congo









Bemba et Linda Ganga étaient au Congo depuis 2014 pour fonder et développer une école primaire chrétienne, La Plantation. Après six années de travaux, de création de classes (une par an), de recrutement d’élèves et d’enseignants, d’enseignement et d’administration, les élèves de la première classe créé ont pu passer leur certificat de fin de cycle. La famille Ganga a décidé de rentrer en France pour deux ans, afin d’accompagner leurs deux aînés dans leurs études dans l’hexagone. Bemba et Linda étaient en disponibilité de la fonction publique. Ils ont donc repris leur activité professionnelle d’antan mais également leur vie ecclésiale, dans leur église d’envoi, à Champs-sur-Marne. Mais ils projettent déjà de retourner au Congo pour créer une deuxième école.


Nan Caï

Missionnaire long-terme - France










Nan est une Chinoise arrivée en France pour des études en chimie, il y a plusieurs années. Sur place, elle a découvert la foi chrétienne, inconnue jusqu’ici, et s’est convertie. Cela a complètement bousculé ses plans puisqu’elle s’est orientée ensuite vers une faculté de théologie (à Vaux-sur-Seine) pour servir ensuite dans le ministère. Nan avait à cœur d’atteindre les étudiants internationaux en France, et notamment les Chinois, pour faire des disciples de Christ parmi cette communauté afin que lorsqu’ils retournent dans leur pays, ils soient des lumières de Dieu dans leur foyer et dans leur ville. Après quatre années de collaboration avec l’association Un Cœur pour le Monde et les églises perspectives, Nan s’oriente désormais vers un ministère pastoral dans son église d’envoi, à Paris.


Des débuts de collaboration


Famille Duriga

Missionnaires long-terme – France








SIM France-Belgique ne fait pas qu’envoyer des missionnaires à l’étranger, nous en accueillant aussi dans nos pays et les plaçons dans des ministères en lien avec l’église et les associations chrétiennes. C’est le cas de Nate et Jana Duriga que nous recevons depuis début septembre, à Strasbourg. Cette famille américaine qui a déjà travaillé au Niger parmi les étudiants, débute un ministère avec les Groupes Bibliques Universitaires (GBU) toujours parmi les étudiants. La famille s’installe et prend ses marques.


Famille Tousch

Missionnaires long-terme – Papouasie-Nouvelle-Guinée









André et Aurélie Tousch sont partis en 2013 avec leurs enfants et une équipe multiculturelle de New Tribe Mission dans ce pays aux 800 langues différentes pour vivre parmi la communauté des iskis, dans une zone difficile d’accès. Là-bas, ils ont appris la langue et la culture locale, ils ont construit des maisons et ont débuté un travail de traduction de la Bible et de partage de l’Évangile. Une grande partie des habitants de ce peuple qui ne connaissait pas Dieu sont maintenant chrétiens, après avoir été touché par la bonne nouvelle de Dieu pour eux. Cet automne, les Tousch rejoignent officiellement SIM France-Belgique qui est désormais leur mission d’envoi, mais leur ministère là-bas se poursuit.


Priscilla Driscoll

Missionnaire long-terme – Afrique de l’Ouest










Plus tôt, en début d’année, Priscilla est partie dans un pays d’Afrique de l’Ouest pour vivre parmi une communauté peule. Elle habite dans une cour et apprend la langue de cette communauté. Elle a à cœur d’apporter ses compétences dans le domaine de la santé pour entrer en relation avec les femmes peules et petit à petit pouvoir leur présenter l’Évangile, dans un climat de confiance.


Des évolutions de ministère


Famille Deneufchâtel

Missionnaires long-terme – France











Pendant plus de 10 ans, les Deneufchâtel étaient en mission au Bénin pour travailler parmi le peuple monkolé à travers la traduction de la Bible (Hilary) et l’enseignement biblique (Marc). Le projet de traduction arrivant dans ses dernières étapes, la famille est rentrée définitivement en France cet été. Marc a repris un poste dans l’éducation nationale, les enfants ont retrouvé le chemin de l’école française mais Hilary poursuit son travail dans la finalisation de la Bible en langue monkolée et prépare sa publication en lien avec MiDi Bible. Elle reste donc missionnaire SIM jusqu’à la dédicace de la Bible en 2021 ou 2022.


Famille Judkins

Missionnaires long-terme - France









Originaires d’Angleterre mais ayant grandi en partie en France, Peter et Claire-Lise, ont été missionnaires à Madagascar plusieurs années. Ils sont venus en France en 2018, pour contribuer à la croissance des églises naissantes. Dans un premier temps à Castres, et désormais à Val d'Europe, depuis septembre. Peter a débuté un ministère pastoral dans la jeune église baptiste de la localité. La famille s’intègre progressivement dans leur nouvel environnement et crée des liens avec les membres de l'église.


Les missionnaires en court-terme



Étant donné leur statut de court-terme, cette partie de nos missionnaires connaît un «roulement» plus important. Mais la crise covid qui nous a touché de plein fouet, a empêché l'envoi de nouveaux collaborateurs sur le champ depuis mars. Cependant plusieurs ont pu finir leur engagement dans les temps imaginés ou de manière écourtée.


Elodie Godié était partie juste avant le confinement au Cameroun pour travailler dans un ministère parmi des enfants aveugles ou déficients visuels. Même si sa mission a un peu changé de nature à cause des restrictions sanitaires sur place, elle a pu contribuer à l’œuvre de Dieu et découvrir la façon dont Il agit dans un contexte tout à fait différent du sien. Elle est rentrée en France en août, comme prévu et a repris son poste de professeur.


Audrey Michel a passé dix mois dans un pays d’Afrique de l’Ouest pour travailler à l’alphabétisation de membres d’un peuple sans accès à l’Évangile. Elle est rentrée en France au terme de sa mission. Elle a repris en septembre un poste d’enseignante dans un établissement scolaire privé.


Nathanaël et Amalia Naas ont passé près d’une année en Croatie pour travailler avec une église locale et le centre de vacances appartenant à l’église. Ils sont revenus en France à la fin du printemps et envisagent la suite par un ministère en France.


Espérance Kamata a fait deux ans au Congo, avec la famille Ganga, en travaillant à l’école la Plantation. Elle est finalement rentrée quelques semaines plus tôt que prévu, mais a pu bien organiser la transition sur place. Dans son désir de poursuivre un service en mission à plus long-terme, elle s’est inscrite à l’Institut Biblique de Genève (IBG) en premier cycle, qu’elle vient de commencer.


Sandrine Leycuras, qui devait elle partir en Bolivie après avoir déjà servi au Chili n’a pas pu partir à cause de la crise. Ayant elle aussi à cœur de partir à plus long terme, elle a décidé de suivre la même formation qu’Espérance, à l’IBG pour avoir une base biblique plus solide pour la suite.


La famille Picq était partie en septembre 2019 pour le Tchad afin d’y passer 10 mois en découvrant différents ministères et en s’y impliquant. La crise a précipité leur retour en France, mais Jean a pu continuer à distance sur certains aspects de son engagement (suivi de chantiers concernant un centre de santé et un hôpital). Jean poursuit des études en ligne avec l’IBG. La famille réfléchit à la possibilité d’un engagement missionnaire futur.


Victoria Hary et Priscille Ferry étaient toutes deux parties en Afrique du Sud en début d’année et devaient rentrer à la fin du printemps, mais un mois seulement après leur départ, elles ont dû être rapatriées assez rapidement en France, là encore, à cause de la situation sanitaire mondiale. Malgré ces chamboulements, elles ont pu trouver une activité professionnelle, en attendant d’envisager une suite.


Tout cela est sans compter les nombreux missionnaires qui sont rentrés pour leur congé missionnaire (temps de retrouvaille avec le pays d’origine, les différents cercles sociaux, mais aussi temps de débriefing, de bilan et de réflexion, de tournée d’églises et visites de partenaires financiers), ou pour raisons de santé. Les défis ont été nombreux pour assurer leur retour et leur permettre de vivre ce temps spécifique, mais Dieu a permis que le bureau SIM France-Belgique puisse les accompagner au mieux et que tout se déroule bien.


 

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