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7 (mauvaises) raisons de devenir missionnaire

Si vous vous attendiez à lire un article ironique avec 7 mauvaises excuses pour ne pas partir en mission, vous allez être déçus. Même si nous croyons que tous les chrétiens partagent un mandat commun d’aller faire de toutes les nations des disciples, nous pensons aussi que la fin ne justifie pas les moyens, et que, si quelqu’un veut devenir missionnaire, il faut que ce soit pour les bonnes raisons.


randy laybourne - unsplash

Mais pourquoi une organisation missionnaire, qui a pour vocation, voire même pour raison d’être, de former et d’envoyer des missionnaires, prendrait le temps de d’écrire un article qui décourage de devenir missionnaire, d’être porteur de la Bonne Nouvelle jusqu’aux extrémités de la terre ?


Bien entendu, la plupart des raisons qu’ont différentes personnes pour partir en mission ne sont pas mauvaises en soi ou ne partent pas de mauvaises intentions, mais, parfois, elles passent à côté de ce qui devrait être l’essentiel. Alors, quelles sont des mauvaises raisons ou motivations pour partir en mission ?

 

1- Faire de l’humanitaire


On dit souvent que le contexte occidental est un contexte postchrétien, voire même post-postchrétien. L’homme est au centre, c’est lui qui décide de son avenir, de son chemin. Les libertés fondamentales que l’on reconnait aux êtres humains comprennent la liberté de religion, mais cette liberté ne doit surtout pas offusquer autrui : les convictions religieuses personnelles sont acceptées, mais il ne faut pas les partager, de peur que l’on influe ou que l’on fasse pression sur les autres, ce qui porterait atteinte à leur propre liberté. Si les personnes autour de nous sont heureuses dans leur condition actuelle, qui sommes-nous pour leur dire qu’il faut qu’ils croient en Dieu et en Jésus qu’il a envoyé ?


Dans ce contexte ce n’est pas surprenant que de plus en plus de personnes veulent devenir missionnaires uniquement pour faire de l’humanitaire, sans que le partage de leur foi ne soit central à leur activité, de peur de s’imposer à l’autre. De même, de plus en plus d’églises veulent soutenir uniquement des projets qui se focalisent sur l’amélioration du bien-être humain, la santé ou le développement, alors que les ministères focalisés sur le partage de l’évangile sont de moins en moins bien vus.

Pourtant, nous croyons que le partage de l’évangile doit rester central dans la mission. Bien entendu, il ne s’agit pas d’ignorer les besoins physiques de ceux que nous servons, Jésus lui-même nous as montré son intérêt pour les marginalisés et les démunis. Au cours de son ministère il a guéri les malades, relevé les morts et libéré ceux qui étaient opprimés par des démons. Mais il ne faisait pas que cela. Un certain médecin a dit « je ne suis pas là pour traiter les patients pour qu’ils aillent en bonne santé en enfer ». Faire de l’humanitaire c’est bien, Dieu nous a mis sur le cœur d’aider les personnes en difficultés parce que lui aussi les aime. Mais pour cela on peut rejoindre une ONG, aider dans une association locale. Les opportunités ne manquent pas.


Partir en mission ce n’est pas que de l’humanitaire, nous devons aussi et surtout avoir à cœur le bien-être éternel des personnes auprès desquelles Dieu nous envoie. Nous ne changeons pas le cœur de ces personnes, Dieu seul le peut, nous ne les obligeons pas à répondre à notre message, mais, comme le dit Romains 10.14 : comment donc feront-ils appel à celui en qui ils n'ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n'ont pas entendu parler ? Et comment entendront-ils parler de lui, si personne ne l'annonce ? Ainsi notre amour pour eux devrait nous pousser à partager avec eux, afin qu’ils aient aussi ce qui est vital : le salut en Jésus, sans pour autant négliger le reste.


Être missionnaire c’est partager la Bonne Nouvelle de Jésus, en parole et en actes, avec ceux qui n’auront peut-être pas d’autre opportunité de l’entendre.

 

2- Répondre à une pression religieuse


Parfois, au contraire, les raisons qui poussent des personnes à être missionnaires peuvent être purement religieuses. Dans certains contextes familiaux ou d’église, devenir missionnaire est une preuve de maturité spirituelle. Renoncer à son confort et partir à l’autre bout du monde peut être vu comme la démonstration d’une piété personnelle. Parfois cette pression est interne, on est convaincu que si l’on est vraiment un bon chrétien, on partagerait notre foi, mais comme on n’ose pas le faire avec son entourage, on part à l’étranger.


Là encore le désir de partager l’Évangile n’est pas mauvais en soi, bien au contraire ! Mais vouloir faire des choses par simple religiosité n’est pas suffisant. En s’adressant aux spécialistes de la loi et aux pharisiens, Jésus dit : « Malheur à vous, spécialistes de la loi et pharisiens hypocrites, parce que vous versez la dîme de la menthe, de l'aneth et du cumin et que vous laissez ce qu'il y a de plus important dans la loi : la justice, la bonté et la fidélité. C'est cela qu'il fallait pratiquer, sans négliger le reste. » (Matthieu 23.23). Il ne dit pas que de verser la dîme n’était pas une bonne chose, mais ce n’était pas suffisant en soi. De même, Paul dans sa lettre aux Corinthiens montre bien que toutes les bonnes choses que nous pouvons faire ne servent à rien si nous n’avons pas d’amour (1 Corinthiens 13. 1-3).


Devenir missionnaire n’est pas une fin en soi, ce n’est pas une case à cocher pour prouver sa piété. Bien au contraire, cette attitude peut conduire à un sentiment de supériorité spirituelle. Or, comme le montre la parabole de Jésus en Luc 18.9-14, ce ne sont pas ceux qui s’estiment eux-mêmes justes qui le sont en réalité, car d’eux-mêmes ils ne peuvent rien, mais ceux qui se savent pécheurs et sauvés par grâce. Nous voyons ceci au travers des personnes que Dieu a utilisé : Paul, qui persécutait les chrétiens et se disait le premier des pécheurs (1 Timothée 1.15), Pierre, qui a renié Jésus trois fois, ou encore plus récemment William Carey, qui désespérait de sa condition pécheresse et savait que rien de ce qu’il faisait ne pouvait être digne d’un Dieu saint.   


Être missionnaire n’est pas une question de religiosité, mais une réponse de personnes sauvées par grâce à l’appel de Dieu, connaissant leurs propres limites mais faisant confiance en l’Éternel.

 

3- Changer de vie 


Témoignage missionnaire : « Alors que nous faisions une tournée pour visiter des Églises et amis avant de partir sur le terrain missionnaire, nous avons rencontré quelqu’un qui ne nous connaissait pas, mais qui avait fait un don important pour soutenir notre ministère. Cette rencontre était révélatrice. Cet homme avait toujours cru que ceux qui partent en mission sont des chrétiens qui ne savent pas quoi faire d’autre, qui ont échoués dans leurs études ou vie professionnelle et donc par défaut, partent à l’étranger. Quelle surprise pour lui de découvrir que j’étais vétérinaire, avec un emploi stable et des perspectives intéressantes pour l’avenir et que mon mari avait un CDI dans un travail qui lui plaisait, et que nous allions ‘sacrifier’ nos carrières pour partir en mission avec notre jeune famille. »


Malheureusement, ce genre d’idée reçue n’est pas rare, même parmi ceux qui partent. Plusieurs partent en mission pour changer de vie, en pensant que ce sera plus simple en mission, ou encore pour fuir une souffrance ou problématique présente dans leur vie. D’autres encore veulent vivre une vie extraordinaire et, inspirés par les biographies de missionnaires qu’ils ont lues ou entendues, veulent partir à l’aventure.


Certes, changer de vie fait partie de la mission transculturelle, mais elle ne doit pas être la motivation qui y pousse. Dans nos vies, Dieu ne nous appelle pas à fuir les situations difficiles, mais à nous confier en lui. Dans sa lettre aux Philippiens, Paul écrit : Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, dans une attitude de reconnaissance. Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut comprendre, gardera votre cœur et vos pensées en Jésus-Christ (Philippiens 4.6-7). De même Jésus, après avoir dit aux disciples que ces derniers l’abandonneraient, dit : « Vous aurez à souffrir dans le monde, mais prenez courage : moi, j'ai vaincu le monde. » (Jean 16.33).


Être missionnaire ce n’est pas partir à l’aventure ou fuir des situations difficiles, c’est de savoir que nos vies sont dans les mains de Dieu et de les soumettre à lui dans leur intégralité.

 

4- Laisser une trace dans l’Histoire par votre engagement


Qui a entendu parler de certains personnages importants de l’histoire, sans ressentir une admiration ? Qui ne voudrait pas avoir un impact positif autour d’eux ? On peut parfois avoir envie de ressembler à des personnes que nous connaissons et admirons, ou encore se poser la question de ce que l’on dira de nous une fois que l’on ne sera plus là. Vouloir laisser une marque, une bonne impression nous donne parfois de l’énergie, nous pousse à faire de bonnes choses.


Ce n’est pas une mauvaise chose que de vouloir faire des bonnes œuvres, c’est même très bien. Jésus a dit : « Que, de la même manière, votre lumière brille devant les hommes afin qu’ils voient votre belle manière d’agir et qu’ainsi ils célèbrent la gloire de votre Père céleste. » (Matthieu 5.16). Le fruit de notre travail pourrait être reconnu, mais la motivation qui nous pousse ne doit pas être celle de recevoir une reconnaissance personnelle mais plutôt : « qu’ainsi ils célèbrent la gloire de votre Père céleste ».

Malheureusement, beaucoup de missionnaires partent encore aujourd’hui avec l’idée qu’ils vont changer le monde, qu’ils vont avoir un impact. Ces personnes qui, souvent, rejetteraient le colonialisme, ont été qualifiées par certains pasteurs locaux comme ayant une mentalité coloniale : ils viennent, veulent vivre une vie plus confortable que les locaux, avec leur culture et coutumes, font leur ministère et veulent que les personnes autour d’eux les écoutent. Pourtant Jésus lui-même est venu en tant que serviteur, et il nous enseigne aussi à avoir cette attitude : « Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites : ‘Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire.’ » (Luc 17.10).


Partir en mission ce n’est pas changer le monde, ni recevoir la gloire ou l’honneur personnel, c’est pour la gloire de Dieu seul.


5- Partager autre chose que l’Évangile dans sa complétude


Parfois, ce sont des différences de pratiques ou de culture qui interpellent les personnes, qui veulent ensuite partir en mission. Par exemple, la mutilation génitale féminine, la polygamie ou encore simplement la pauvreté dans laquelle certains vivent peuvent choquer certains et les pousser à vouloir changer les choses. On peut se dire « si seulement cette tribu connaissait l’évangile, ils s’arrêteraient de… ». Parfois, même sans partir avec cette intention-là, en arrivant sur le terrain on se retrouve face à des aspects culturels que l’on aimerait changer. Nous avons tous une manière de voir le monde qui est influencée par notre culture en plus de notre foi. Nous n’arrivons pas toujours à distinguer les deux, et, sans le vouloir, nous amenons avec nous en mission notre culture, notre manière de faire ou de voir le monde, en plus du message de l’Évangile. C’est difficile parfois de faire la part des choses, et encore plus de laisser les autres faire différemment. Ceci pousse certains à être plus intéressés par un changement extérieur parmi les populations chez qui ils sont accueillis, qu’un changement intérieur, le fruit de l’esprit.


Dans 1 Corinthiens 9.19-23 Paul parle de l’importance de s’adapter à ceux envers qui nous allons, et non le contraire. Il s’est fait tout à tous afin d’en sauver de toute manière quelques-uns. Il ne cherchait pas à transmettre sa culture, sa manière de penser, il s’est adapté aux autres afin de ne pas mettre d’obstacles au message qu’il avait. Jésus lui-même est l’exemple parfait de ceci. Il aurait pu arriver en force et imposer une meilleure façon de faire aux humains. Mais il ne l’a pas fait, lui qui était Dieu, s’est incarné, a pris la condition humaine, est venu comme bébé, faible et vulnérable, a subi les conséquences du péché dès sa petite enfance lorsque ses parents ont dû fuir en Egypte, mais aussi, bien sûr, plus tard quand il est mort sur la croix. C’est ce message de sacrifice, de réconciliation avec Dieu qui doit être central pour nous en partant en mission. Dieu, lui, transforme chaque personne dans le plus profond de son être. Bien sûr Dieu est aussi un Dieu de justice, et parfois nous devons agir contre l’injustice, mais si nous faisons, il faut que ce soit avec grande sagesse et humilité, sans partir d’une position de supériorité.


Partir en mission ce n’est pas transmettre sa culture, sa manière de faire, mais de transmettre la Bonne Nouvelle de Christ.


6- Travailler sans redevabilité


Ceci n’est souvent pas une motivation visible, reconnue, même par la personne elle-même. Pourtant, bien souvent, surtout dans les contextes plutôt pionniers, les personnes qui partent ont tendance à avoir un caractère assez indépendant. Dans les cas où ceux qui partent en mission ne veulent pas avoir de redevabilité, on peut entendre des phrases comme « je ne suis redevable qu’envers Dieu », « j’ai été appelé et donc je pars, peu importe ce que l’on me dit » ou encore « je ne crains pas les hommes, je crains uniquement Dieu ».


Et pourtant Dieu est un, il n’est pas incohérent ni inconstant en voulant une chose un moment, et une autre l’instant d’après. Dieu, dans sa grande sagesse, a voulu que les croyants fassent partie, ensemble, d’un corps, un endroit où ils peuvent grandir ensemble, en mettant en pratique leurs différents dons (Ephésiens 4.13), un endroit où ils peuvent s’aimer, s’encourager les uns les autres (Jean 13.34-35), mais aussi un endroit où ils doivent se soumettre les uns aux autres (1 Pierre 5.5). Cette soumission mutuelle n’est pas une option en plus, ou uniquement pour ceux qui restent dans leur pays d’origine, elle est aussi nécessaire pour les missionnaires. Cette soumission volontaire les uns aux autres ne se fait pas dans la crainte des hommes, et n’est pas non plus une excuse de domination les uns sur les autres, mais elle se fait dans la crainte de Dieu (Ephésiens 5.21), qui a créé chacun d’entre nous.


Paul lui-même, bien que considéré comme l’un des plus grands missionnaires, est resté connecté dans la communauté chrétienne. Il s’est aussi rendu auprès des ‘piliers de l’église’ auprès desquels il a présenté son travail, même s’il n’est pas toujours d’accord avec eux (Actes 21.17-19, Galates 2.1-14).


Bien sûr, il est important de faire la volonté de Dieu et non celle des hommes, mais ceci ne nous donne pas carte blanche pour faire ce que nous voulons, mais de chercher à faire la volonté de Dieu à la manière dont il le veut. Quand Jésus prie que « tous soient un comme toi, Père tu es en moi et comme je suis en toi », il n’est pas en train de donner des exceptions. Cette unité a aussi une conséquence important « pour que le monde croie que tu m’as envoyé », avec cela en vue, les missionnaires devraient être les premiers à aspirer à cette unité.


Être missionnaire ce n’est pas partir en solo, sans redevabilité, c’est être membre du corps de Christ, ayant certes un travail particulier, mais qui s’inscrit dans un ensemble.


7- Chercher un conjoint


Ceci n’est pas le plus courant des raisons ou motivations citées, mais cela reste une motivation qui existe et qui malheureusement peut avoir un impact négatif important sur la mission. Cette motivation est là encore souvent bien cachée. Ce n’est parfois que dans la durée qu’elle apparaît au grand jour. Soit la personne partant ainsi rencontre quelqu’un et perd de vue la mission qui lui a été confiée, la relation naissante prenant le dessus en terme de priorité, soit la personne porte en son cœur une lourdeur grandissante vis-à-vis de sa position, qui rend sa mission difficile, au point même de vouloir arrêter. Il est vrai que le Seigneur béni ses enfants, et que nombre de personnes ont trouvés leur conjoint sur le terrain missionnaire. Malheureusement, pour certains, le désir de trouver un conjoint était tellement marqué qu’ils ont décidé d’épouser une personne non-chrétienne qu’ils ont rencontré sur le terrain et, en conséquence, ont quitté le travail missionnaire et même l’église, détruisant ainsi le témoignage qu’ils avaient.


La Bible ne nous dit pas que les célibataires ne doivent pas se marier, par exemple Paul dans 1 Corinthiens 7 dit qu’il est mieux pour quelqu’un de se marier que de brûler de désir (v.9), mais il précise qu’il est important de s’attacher au Seigneur sans tiraillements (v.35). Lorsque le désir de trouver un(e) conjoint(e) prime dans nos décisions, nous ne sommes pas attachés au Seigneur sans tiraillements. Il faut donc qu’un missionnaire célibataire soit au clair et en paix vis-à-vis de sa situation, afin que cela ne prenne pas la place principale. Pourtant, si Dieu permet que cette personne rencontre son futur conjoint sur le terrain missionnaire, que Dieu soit loué !


Être missionnaire c’est aussi se contenter de ce que Dieu a donné, tout en lui faisant confiance pour l’avenir.

 

Conclusion


À la fin de cette lecture, c’est possible de se retrouver découragé. Il est important de finir sur une note positive. Bien qu’il y ait plusieurs raisons ou motivations qui ne devraient pas être centrales à notre désir de partir en mission, il en existe une très bonne : la gloire de Dieu.


 

6 lui qui est de condition divine,

il n'a pas regardé son égalité avec Dieu

comme un butin à préserver,

7 mais il s'est dépouillé lui-même

en prenant une condition de serviteur,

en devenant semblable aux êtres humains.

Reconnu comme un simple homme,

8 il s'est humilié lui-même

en faisant preuve d’obéissance jusqu'à la mort,

même la mort sur la croix.

9 C'est aussi pourquoi Dieu l'a élevé à la plus haute place

et lui a donné le nom

qui est au-dessus de tout nom

10 afin qu'au nom de Jésus

chacun plie le genou

dans le ciel, sur la terre et sous la terre

11 et que toute langue reconnaisse

que Jésus-Christ est le Seigneur,

à la gloire de Dieu le Père.


Philippiens 2.6-11 


 

La raison principale pour laquelle Jésus est venu sur cette terre, et la raison principale de partir en mission, est la Gloire de Dieu. Si nous croyons réellement que toute la gloire lui revient, que lui seul est digne de louange, ceci nous pousse à aller. À aller dans notre quartier, notre ville, notre pays et jusqu’au bout du monde pour partager qui il est et ce qu’il a fait. Alors pourquoi avons-nous pris le temps d’écrire cet article ? Parce que nous croyons que Dieu est vraiment digne du meilleur de nous-même et qu’il est important que chacun s’examine soi-même avant de se lancer dans la mission, non pas pour savoir s’il est à la hauteur, mais pour être sûr d’être prêt à tout lui donner.

Soyons prêts à imiter Jésus, le plus grand de tous les missionnaires, à la gloire de Dieu le Père !


 

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